Evènements et Invitations

 

À Richerenches Raymond Martin, 79 ans.

Nous le portons dans nos prières avec sa famille et ses proches.

 

Dans le cadre de l’année de la famille voulue par les évêques de France, les familles de nos paroisses ont prévu une procession aux flambeaux le jeudi 8 décembre : départ à 17 h 45 de la chapelle de Pied Vaurias, arrivée à l’église Notre-Dame de Nazareth. Une collation chaude clôturera cette heureuse initiative.

Vous êtes tous invités, paroissiens, parents, enfants ou grands-parents  ! La messe de cette solennité sera célébrée dans l’Enclave des Papes à 8 h 30 à la chapelle de l’hôpital de Valréas. Fêter l’Immaculée Conception le 8 décembre, c’est reconnaître la puissance de l’Esprit Saint qui a sanctifié Marie dès sa conception et dont elle est devenue le Temple.

Par là, Marie est le témoin de l’action de l’Esprit Saint qui veut nous transformer nous aussi tout entier, esprit, cœur et corps. En nous, l’Esprit Saint peut faire peu à peu ce qu’il a fait en Marie d’un seul coup.

 

Préparons notre cœur durant ce temps de l’Avent à l’avènement dans nos vies et dans nos cœurs de celui qui s’appelle depuis sa naissance Jésus, c’est-à-dire le salut de Dieu, pour qu’il puisse venir y naître  !

Valréas : samedi 10 décembre à 11 h 00. Vous pouvez déjà venir la voir  !

Grillon : dimanche 11 décembre après la messe de 9 h 30

Visan : samedi 17 décembre après la messe de 17 h 45

Richerenches : dimanche 18 décembre après la messe de 10 h 45

 

Benoît XVI invite à se ressaisir du vrai sens de la vie de l’homme sur terre, à l’occasion de la nouvelle année liturgique. Il a rappelé que «  le vrai maître du monde n’est pas l’homme mais Dieu  ». Le temps de l’Avent vient nous rappeler à l’ordre, a commenté le pape, «  pour que notre vie retrouve son orientation juste, en direction du visage de Dieu.  »

«  Non pas le visage d’un « maître », a-t-il précisé, mais d’un Père et d’un Ami.  » Il a décrit la nouvelle année liturgique comme «  un nouveau chemin de foi  », «  pour vivre ensemble dans la communauté chrétienne  » et pour pénétrer l’histoire du monde «  afin de l’ouvrir au mystère de Dieu, au salut qui vient de son amour.  » L’Avent est un «  temps magnifique  », a-t-il souligné «  où se réveille dans les cœurs l’attente du retour du Christ et la mémoire de sa première venue  ».

Il a mis en garde contre «  la menace de l’assoupissement  ». «  Ne laissons pas s’endormir notre dynamisme spirituel  », a-t-il ajouté.

 

Si la paroisse de Valréas a fait le choix de laisser le local Faravel pour cette maison, c’est pour des raisons pastorales (proche de l’église et du presbytère) et pour un meilleur confort, notamment celui du chauffage. Un système de plafond rayonnant a été choisi et sera de loin le plus confortable, le plus économique et le plus approprié pour le temps d’utilisation des locaux. Coût de l’opération environ 15 000 €. Toute participation financière même modeste sera la bienvenue  !

En faisant un don, profitez encore cette année d’une déduction fiscale avantageuse  ! Si vous êtes imposable, vous bénéficiez d’une réduction d’impôt équivalente à 66% du montant de votre don dans la limite de 20% de votre revenu imposable.

Si vous donnez 60 € cela vous coûte réellement 20,40 €  ; si vous donnez 150 € cela vous coûte réellement 51 €  ; si vous donnez 500 € cela vous coûte réellement 170 €. Grâce à la réduction d’impôts, vous pouvez multiplier votre don par 3 sans qu’il vous coûte 1 € de plus  !

Les chèques doivent être faits à l’ordre de : «  A D Travaux de Valréas  » et à remettre au presbytère.

 

En visite à Prague, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence des évêques de France, estime que la crise de la dette, qui frappe actuellement l’Europe, ne relevait pas d’un «  système exclusivement rationnel  ».

«  Il faut aussi que les gens comprennent qu’ils ont besoin d’autres choses que la consommation  » a-t-il poursuivi.

 

Devant les membres du gouvernement et des institutions de la République à Cotonou au Bénin, le pape Benoît XVI dans un discours vigoureux, rappelle les hommes politiques à leurs responsabilités. «  En ce moment, il y a trop de scandales et d’injustices, trop de corruption et d’avidité, trop de mépris et de mensonges, trop de violences qui conduisent à la misère et à la mort. Ces maux affligent certes votre continent, mais également le reste du monde. Chaque peuple veut comprendre les choix politiques et économiques qui sont faits en son nom… Nous savons qu’aucun régime politique humain n’est idéal, qu’aucun choix économique n’est neutre. Mais ils doivent toujours servir le bien commun. Nous nous trouvons donc en face d’une revendication légitime qui touche tous les pays, pour plus de dignité, et surtout pour plus d’humanité…

De cette tribune, je lance un appel à tous les responsables politiques et économiques des pays africains et du reste du monde. Ne privez pas vos peuples d’espérance  ! Ne les amputez pas de leur avenir en mutilant le présent  ! Ayez une approche éthique courageuse de vos responsabilités et, si vous êtes croyants, priez Dieu de vous accorder la sagesse  ! Cette sagesse vous fera comprendre qu’étant les promoteurs de l’avenir de vos peuples, il faut devenir de vrais serviteurs de l’espérance. Il n’est pas facile de vivre la condition de serviteur, de rester intègre parmi les courants d’opinion et les intérêts puissants. Le pouvoir, quel qu’il soit, aveugle avec facilité, surtout lorsque sont en jeu des intérêts privés, familiaux, ethniques ou religieux. Dieu seul purifie les cœurs et les intentions.

L’Eglise n’apporte aucune solution technique et n’impose aucune solution politique. Elle répète : n’ayez pas peur  ! L’humanité n’est pas seule face aux défis du monde. Dieu est présent. C’est là un message d’espérance, une espérance génératrice d’énergie, qui stimule l’intelligence et donne à la volonté tout son dynamisme. Un ancien archevêque de Toulouse, le cardinal Saliège disait : «  Espérer, ce n’est pas abandonner  ; c’est redoubler d’activité.  » L’Eglise accompagne l’Etat dans sa mission  ; elle veut être comme l’âme de ce corps en lui indiquant inlassablement l’essentiel : Dieu et l’homme… Le désespoir est individualiste. L’espérance est communion.

N’est-ce pas là une voie splendide qui nous est proposée  ? J’y invite tous les responsables politiques, économiques, ainsi que le monde universitaire et celui de la culture. Soyez, vous aussi, des semeurs d’espérance  !   »

 

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