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Evènements et Invitations

 

À Valréas, Émilienne LE Guillermic 92 ans Nous la portons dans nos prières avec sa famille et ses proches.

 

Prière d’Oraison 

Le lundi 10 mars à 19 h 00 à la salle du Cardinal Maury à Valréas.

 

Jeudi 13 mars de 18 h 00 à 20 h 00, le Chanoine Jean Philibert, Aumônier du Carmel d’Avignon parlera de l’encyclique « Lumen Fidei », « La lumière de la Foi », du Pape François à la Salle du Cardinal Maury à Valréas : enseignement, échanges en petits groupes et réponses aux questions. À l’issue ceux qui le souhaitent pourront partager le repas. C’est dans cette même salle, au cours d’une conférence de Carême, que nous apprenions le 13 mars 2013 l’élection du Pape François !!!

La 1^ère encyclique du Pape François, intitulée "La lumière de la Foi" a été rendue publique le vendredi 5 juillet 2013. « Dieu est lumineux » s’il fallait résumer d’une expression la première encyclique du pape François, c’est sans doute cette petite phrase là qu’il faudrait retenir ; si Dieu est lumineux, c’est toute notre foi aussi, donc notre existence qui s’éclairent mutuellement, faisant de la vie croyante une avancée vers plus de clarté et de liberté.

 

Toutes les personnes qui sont prêtes pour la 7^ème année à vivre cette démarche de conversion, doivent se faire inscrire auprès des Prêtres, Diacres ou au Presbytère avant le 12 mars. Ce repas ne réunira pas tous les inscrits en même temps car une fois de plus, les convives se placeront par affinité !!! Rappelons que le but de cette initiative, est de rencontrer des chrétiens de ma Communauté que je ne connais pas, que je n’ai pas choisis ! Le nombre de convives par table dépendra du nombre d’inscrits mais ne dépassera pas 7 !

Chaque tablée sera autonome : le lieu, la date, l’horaire, la forme, seront définis par le ou la responsable de chacune des tablées.

 

Plaide pour que les femmes accèdent à part égale avec les hommes, aux instances décisionnelles de l’Église. Suite à l’exhortation du pape François qui veut une Église « en mouvement », et conjointement à la Journée Mondiale de la Femme qui a lieu le 8 mars prochain, l’équipe de l’enclave de l’Action Catholique des Femmes proposera aux paroissiens le dimanche 9 mars à Valréas à la sortie de la messe un « Mur de Paroles » afin que tous puissent s’exprimer sur la place des femmes dans l’Église.

 

Le Mouvement Chrétien des Retraités (MCR) vous convie à cette journée de récollection sur le thème « Souffrance et Compassion » soit le 13 mars à la Maison diocésaine (31 rue Paul Manivet) à Avignon, soit le 27 mars au Carmel de Carpentras (place de la Marotte) de 10 h à 16 h (repas tiré du sac). Ces journées seront animées par le Père Pierre Avéran, aumônier diocésain du MCR. Elles sont ouvertes à tous !

 

Paroisse & évangélisation, de nouveaux défis ? Pourquoi et comment développer un projet paroissial centré sur l’évangélisation ? Comment impliquer davantage de laïcs dans et au service de l’évangélisation ?

Journée ouverte à tous le samedi 22 mars à la paroisse du Sacré-Cœur à Avignon de 9 h à 17 h (messe à 17 h) sous la présidence de M^gr Jean-Pierre Cattenoz, organisée par la Communion Saint Jean-Baptiste et le diocèse d’Avignon. La formation sera donnée par Alex et Maud Lauriot Prevost, délégués épiscopaux à la Nouvelle Evangélisation. Au programme : louange, enseignement, partage, échange, repas tiré du sac et partagé. Pour le covoiturage s’adresser à la paroisse au 04.90.35.02.59

 

Rencontre avec l’Archevêque le dimanche 23 mars de 9 h 30 à
16 h 00 à la Maison Diocésaine (31, rue Paul Manivet) à Avignon.

S’inscrire dès que possible auprès de la paroisse au 04.90.35.02.59. Coût 15 €.

 

 « En ce 1^er dimanche de Carême, je voudrais faire monter vers Dieu notre Père une prière très respectueuse et très insistante pour nos frères de Syrie, et particulièrement pour les vingt-huit derniers chrétiens résidant à Homs. Nous avons appris le 21 février dernier, officiellement, qu’il ne reste plus que 28 chrétiens dans la partie historique la vieille ville, où ils étaient 60 000 avant le début des combats. Depuis un an, Homs est aux mains des rebelles et encerclée par les troupes gouvernementales. Les derniers chrétiens présents, menacés de toutes parts, souffrent de la faim et ne veulent pas quitter leur quartier de peur de voir leurs maisons détruites, leurs biens pillés et réduits en cendres. Le Jésuite néerlandais Franz van der Lugt, installé dans la ville de Homs depuis plus de quarante ans, témoigne : « Autour de moi, presque toutes les maisons sont détruites. Les gens meurent de faim, ils errent dans les rues à la recherche de nourriture pour leurs enfants ; ils sont à bout de force, leur peau a pris une couleur de cire…

Le matin, nous mangeons des olives et buvons du thé, et le soir, nous essayons de faire une soupe avec la verdure qui pousse entre les pavés des rues ». Le père van der Lugt ne veut pas partir lui non plus ; il sait que s’il quitte son couvent, le bâtiment sera détruit. « Je suis là pour tous les Syriens, dit-il. Même si les 28 chrétiens partaient, je resterais ». Il lance un grand cri de détresse à l’intention des medias de la communauté internationale : « Nous voulons vivre ! Nous ne voulons pas mourir de faim dans d’atroces souffrances !

Le plus grand danger qui nous guette, c’est le désespoir. Je dois garder espoir si je veux être encore utile autour de moi ! » Qui a répercuté ce cri ? Personne, ou presque ; « la Croix », très modestement. De quoi donc était faite l’actualité tous ces temps derniers ? Des jeux de Sotchi, de la vie sentimentale des hommes politiques français, d’un aéroport contesté, des événements d’Ukraine…

Et dans le grand silence de l’indifférence, nos frères d’Homs meurent de faim, privés de tout, abreuvés de chagrin, de peur, de doute peut-être. Ne les abandonnons pas, ne les oublions pas ! Déclinons chaque jour 28 louanges dans nos prières, que chacun d’eux ait en nous un nom secret, comme un ami, un nom que Dieu reconnaîtra, un nom de saint, de martyr. Eglise à l’agonie qui bat encore dans 28 cœurs d’hommes, Homs est entre deux forces qui l’écrasent, et le Christ couronné d’épines y marche sans doute au milieu des bombes, parmi les ruines, pleurant. » Simone Grava

 

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