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Evènements et Invitations

 

À Visan, Marc Gerbeaud 76 ans. Nous le portons dans nos prières avec sa famille et ses proches.

 

Tel est le nom de la congrégation des quatre religieuses qui viendront s’installer définitivement au début de l’été dans la 2^ème partie de la maison des religieuses dominicaines à Valréas (24 rue Château Robert). À la différence des congrégations des Sœurs de Saint Paul de Chartres ou des Sœurs de la Providence, l’ordre des Amantes de la Croix a été créé au Vietnam. Son histoire est en revanche intimement liée aux Missions Étrangères de Paris (MEP), puisque c’est M^gr Lambert de la Motte, cofondateur des MEP, qui institua cette congrégation religieuse féminine en 1670. Beaucoup d’autres éléments historiques et spirituels seront donnés dans le numéro de septembre de l’Enclave Sans Frontières.

Pour bien les accueillir, grand nettoyage de leur maison le lundi 30 juin à 14 h 30. Venez nombreux avec votre matériel (seau, balais, serpillière, éponges, produits…) ! Merci d’avance… Nous vous solliciterons encore en fonction de leurs besoins !

 

Louis Serard (diocèse de Versailles) et Hervé Laguiche (diocèse d’Autun) vont nous quitter le dimanche 22 juin. Du 16 juillet au 15 août, nous accueillerons un séminariste de notre diocèse, Benoît Tartanson que le Père Olivier a eu à l’Aumônerie d’Avignon de la 5^ème à la terminale. Après ses deux années de philosophie, Baptiste Vanel, un autre séminariste de notre Diocèse, sera pendant une année à demeure chez nous à partir du 15 août.

 

La Fête Du Corps Et Du Sang Du Christ Ou Fête Dieu 

Quel nom plus merveilleux pouvons-nous donner à une fête, célébrée cette année le dimanche 22 juin ! Nous communions à la présence réelle du Christ pendant la messe pour devenir nous-même une présence réelle du Christ après la messe. Nous devons devenir ensemble, par la force de l’Esprit Saint, le corps du Christ, après la messe ; le signe visible de sa présence dans le monde. L’Eucharistie est et doit être une communauté de table rituelle mais c’est à nous d’en faire aussi une communauté de table réelle. Si nous communions, pas question de nous excommunier après la messe, pas question de dresser des barrières ou de provoquer des divisions. Oui, c’est vraiment après la messe que l’on sait vraiment si la messe a été vivante.

Une messe vivante, c’est une messe qui fait vivre. Vous dites parfois : « C’était une belle messe ! » Pourquoi ? Parce que quelqu’un a bien chanté ? Parce que quelqu’un a bien parlé ? Prenons garde ! Une belle messe, c’est celle qui embellit la vie. Sinon, la messe ne serait qu’un moment d’esthétisme religieux qui nous rassure à bon compte au lieu de nous renouveler, et qui nous distrairait au lieu de nous entraîner.

 

Fêté le vendredi qui suit la fête du Corps et Sang du Christ. Cette année ce sera donc le vendredi 27 juin ! La messe sera célébrée à 9 h 30 à la chapelle des Pénitents blancs de Valréas puis Adoration du Saint Sacrement jusqu’à 17 h 00 et à
17 h 15 procession du Saint Sacrement dans les jardins des Pénitents blancs. Cette dévotion est en profonde cohérence avec l’Eglise du Concile de Vatican II qui veut aimer les hommes en partageant leurs espoirs et leurs angoisses, leurs joies et leurs détresses.

Dans l’Eglise doit battre le cœur du Christ. C’est pour fonder l’Eglise et la nourrir qu’ont coulé du cœur transpercé du Christ l’eau et le sang, symboles du baptême et de l’Eucharistie. Quand elle fête le cœur du Christ, l’Eglise se rappelle que son cœur, donc le nôtre, doit devenir semblable à celui de Jésus : un cœur humain accueillant l’amour de Dieu pour en vivre au milieu des hommes.

 

En cette année du centenaire de la Première Guerre mondiale, le 12^ème Prélude, dimanche 22 juin, tentera de donner une réponse à cette formidable question « Où était Dieu pendant la guerre ?  »

Quatre temps pour partager notre espérance. Venez, choisissez le temps et l’espace qui vous conviennent le mieux : puis laissez-vous surprendre ! (entrée libre) Site du Prélude : www.leprelude.org

 - 1 ^er temps, 16 h 30 : carré militaire du cimetière de Grignan. Hommage aux morts de toutes les guerres qui ont donné leur vie pour la France : sonneries, lecture de textes, dépôt de gerbe, en présence des autorités civiles et militaires.

 - 2 ^ème temps, 17 h 15 : chapelle Saint-Vincent du cimetière de Grignan. Lecture et prière œcuménique pour la paix.

 - 3 ^ème temps, 18 h 00 : Prélude, à l’Espace Sévigné (salle des fêtes de Grignan) « 1914 - 1918 Et Dieu en ce temps-là ? »

 - 4 ^ème temps, 19 h 30 : apéritif festif sur le parvis de la salle des fêtes de Grignan.

 

 « Nous avons essayé tant de fois et durant tant d’années de résoudre nos conflits avec nos forces et aussi avec nos armes ; tant de moments d’hostilité et d’obscurité ; tant de sang versé ; tant de vies brisées, tant d’espérances ensevelies… Mais nos efforts ont été vains. À présent, Seigneur, aide-nous Toi ! Donne-nous Toi la paix, enseigne-nous Toi la paix, guide-nous Toi vers la paix. Ouvre nos yeux et nos cœurs et donne-nous le courage de dire : ‘‘plus jamais la guerre’’ ; ‘‘avec la guerre tout est détruit !’’. Infuse en nous le courage d’accomplir des gestes concrets pour construire la paix. Seigneur, Dieu d’Abraham et des Prophètes, Dieu Amour qui nous a créés et nous appelle à vivre en frères, donne-nous la force d’être chaque jour des artisans de paix ; donne-nous la capacité de regarder avec bienveillance tous les frères que nous rencontrons sur notre chemin.

Rends-nous disponibles à écouter le cri de nos concitoyens qui nous demandent de transformer nos armes en instruments de paix, nos peurs en confiance et nos tensions en pardon. Maintiens allumée en nous la flamme de l’espérance pour accomplir avec une patiente persévérance des choix de dialogue et de réconciliation, afin que vainque finalement la paix. Et que du cœur de chaque homme soient bannis ces mots : division, haine, guerre ! Seigneur, désarme la langue et les mains, renouvelle les cœurs et les esprits, pour que la parole qui nous fait nous rencontrer soit toujours « frère », et que le style de notre vie devienne : shalom, paix, salam ! Amen. »

 

« Les derniers chrétiens vivant à Mossoul (Irak) ont fui devant l’assaut des djihadistes d’Eiil (État islamique en Irak et au Levant). L’aboutissement d’un long processus enclenché il y a une dizaine d’années : en 2003, 1,5 million de chrétiens vivaient encore dans ce pays du Moyen-Orient. Aujourd’hui, ils ne seraient plus que 150 000 selon les sources les plus pessimistes. Un exil qui malheureusement n’intéresse pas toujours ceux habituellement prompts à défendre les minorités en danger. »

 

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